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Prisme...réflexion totale

21 septembre 2007

...fatalité

Dans les arcs brûlants du réel, le Destin n'est jamais bien loin...On se lasse, laisse et délaisse, accrochés aux raies de souvenirs que le temps rend amers...

S'arracher aux barbelés de la Fatalité? Pour qui? Et Pourquoi?

Quand le Destin décide d'entamer un dialogue, jamais il n'est possible d'avoir le dernier mot, et Ô grand jamais il ne faut essayer de négocier...ou alors, risquer de s'écraser contre les lombes des pierres de la désillusion...

On se laisse aller à la douceur de l'espérance....rage...rêve...révolution...ivre d'illusions...les poignards de la Réalité, tapis dans l'ombre guettent le moment propice...

On se laisse hypnotiser par les flammes du bonheur, rassurantes, pénétrantes...enivrantes... mais un souffle trop fort n'attise pas toujours le feu, et la tempête de l'inévitable, bien souvent le consume, jusqu'à étrangler la plus petite braise, la plus petite étincelle, la plus infime espérance...

On se laisse entraîner par les flots, et une fois le large atteint, les voiliers du songe sombrent dans l'immensité de l'éternité, touchés, coulés par les rochers de Vérité...Quelques écumes restent là, lassent de se laisser balloter par les vagues de l'oubli... anges blancs, pureté de ce qui a été...et de ce qui n'est déjà plus...

Adieu les albatros du bonheur, les rapaces de l'angoisse baillonnent les temps passés...

Au revoir les papillons des douceurs calines ,des joies trop éphémères...déjà oubliées, les danses effrénées des gardiens de l'enfer les ont capturées, et enfermées dans les prisons des remords...

Renoncez, les étoiles du jour sont tombées, échouées sur les plages des immensités des chimères assassinées...

Un ciel sans étoiles est un ciel bien triste, peut être les larmes cristallines pourront-elles les remplacer un temps...on en ferait un collier de souvenirs

Aimant à en mourir et mourant d'aimer...le temps est assassin...oserons-nous l'avouer ?
Ce n'est pas la mort qui fait mal, c'est l'absence..

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17 avril 2007

qu'est ce que le Cosmos...

Une petite recherche sur le net m'a bien aidé...donc voila:
Le Cosmos peut désigner l'univers...
Chez les Grecs, on ne parle pas d'univers mais de κόσμος (kósmos, « monde ordonné » en grec): un monde clos qui a un ordre (par opposition au chaos)
"À ce qu’assurent les doctes pythagoriciens , Calliclés, le ciel et la terre, les Dieux et les hommes sont liés entre eux par une communauté, faite d’amitié et de bon arrangement, de sagesse et d’esprit de justice, et c’est la raison pour laquelle, à cet univers, ils donnent, mon camarade, le nom de cosmos, d’arrangement, et non celui de dérangement non plus que de dérèglement." d'après Socrate
Il y a aussi :Les Cosmos sont des plantes du genre Cosmos.
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Cosmos, série télévisée documentaire racontée et écrite par Carl Sagan ( yatla3chi mta3 almostabidd).
Cosmos
, film documentaire de Lester Novros, sorti en 1974.
Cosmos
, version anglaise du film japonais Wakusei daisenso, sorti en 1977.
Cosmos
, film québécois de Manon Briand, sorti en 1996.
et la liste est longue...
Mais tout ca c'est du blabla...ce qui m'interesse dans le Cosmos c'est ma tartine préférée ^^...car aprés ce poste qui m'a énormément touché, et étant donné que le Cosmos a vu le jour un 17 Avril, j'ai l'immense plaisir  de lui souhaiter un joyeux anniversaire en lui présentant tous mes voeux de bonheur...je céde la parole à la musique car elle exprime mieux que les mots ^^.


Myspace Mp3 Player, MySpace MP3 Players, Flash MP3 Players
5 avril 2007

tambours et troubadours

crépitement...
feu d'artifices...
nuit étoilée...

Taiko et roulements...
rapides et troublants...
amplifiés par le vide...
et l'ase fétide...

sabre dans son fourreau...
beau et inoffensif...
encore le bourreau...
et son regard agressif...
sabre dénudé...
par une main relevé...
dansant avec la lumière...
reflet éblouissant...

nuit coupée en deux...
visage hideux...
sourire sournois...
rire de joie...

Geisha qui danse...
un visage figé...
démarche élégante...
l'odeur du thé réchauffe mon coeur...
musique tendre...
soleil levant...
ombres de marionnettes...

honte ou culpabilité...
j'ai honte...
je ne suis pas coupable...

main et sabre ne font plus qu'un...
ventre entaillé...
entrailles qui giclent...
sang qui coule...
rivières pourpres...
bain de sang...
qui lave ma honte...

je suis le bourreau...
sa main est mienne...
ma main est sienne...

honte partagée...

honte lavée...

944

5 avril 2007

Flute, et Reflute

crépitement...
feu d'artifices...
nuit éclairée...

l'air m'apporte ta voix...
désarroi...
crucifié sur ma croix...
un chien qui aboie...

mes paroles meurent...
sans destinataire...
mes cris s'étouffent...
besoin d'oxygène...

je hume ici ma future fumée...
je humecte mes joues asséchées...
je fume...
j'emplis mes poumons...
bouffés de poison...

quitte ce coeur ensanglanté...
bon débarras...
que coule le sang...
à quoi bon...souffrir...

arrose tes oreillées...
fouille de ta main...
cherche une âme souillée...
regrets et chagrins...

perdu est mon nom...
ne cherche plus...
bon vent...

crépitement...
feu d'artifices...
nuit coloriée...

Ton rire déchire mes tympans...
Atmosphère glauque...
état d'âme...
laisse les couleurs tranquilles...

guillotine aiguisés...
martyre martyrisé...
voyage vers les basfonds...
délivrance...
cris de foule admiratrice...
tête qui roule sur le sable arrosé...
du son de ma gorge tranchée...
bourreau affichant un sourire...
travail accomplis...
mort décente...
éloigne ton panier d'osier...
laisse moi faire ma dernière escapade...
avant que viennent les anges et les diables...
pour décider...
martyre ou damné...
destination finale...

crépitement...
feu d'artifices...
nuit blanche...

pacte avec le diable...
mon âme t'est destinée...
contrainte à errer...
autant s'abandonner...

lance moi un sort...
condamne mon âme dans tes cachots...
oubliettes oubliées...
labyrinthe fermée...
laisse une bougie allumée...
espoir...
retiens ton vent brulant...
laisse la flemme bruler...
consume la femme idolâtrée...
laisse moi les cendres...
prétexte pour pleurer...
retiens ton vent glacé...

crépitement...
feu d'artifices...
nuit étoilée...

guillotine

27 mars 2007

avec le vent dans les cheveux

j'ai pleuré aujourd'hui...encore une fois...je suis un homme qui pleure...et j'en suis fier...je ne cache pas mes sentiments...je suis trop faible ou trop fort...je ne le sais pas moi même...mais je pleure quand j'en ai envie...je verse volentier mes larmes ...je n'en ai pas honte...et je suis un homme qui pleure...car je suis un homme amoureux...je n'étais pas seul...un homme dans la rue...qui pédale...le vent dans les cheveux...la peur au ventre...des arbres qui défilent...je pédale encore plus fort...le vent dans les cheveux...le froid me crispant les jambes...les roues avalent l'asphalte...les larmes deviennent plus insistantes...mes yeux ne peuvent plus les retenir...je suis un homme qui pleure...car je suis un homme amoureux...un homme seul...je ne fais que pédaler...je leve les mains...comme pour prier...je ferme les yeux...et je ne pédale plus...juste un homme qui pleure...les lignes blanches se succèdent...et moi qui pleure...le vent dans les cheveux...filant a vive allure...entre ciel et terre...les bras tendus pour accueillir l'inconnu...avec les larmes...peut être qu'on coupera ma route...peu importe...car je ne pédale plus...je ne suis plus maitre de la situation...je me laisse guidé...je me laisse emporté...et je pleure le vent dans les cheveux...et l'esprit ailleurs...plus rapide...comme les larmes qui coulent...et je suis seul...malgré les gens qui m'entourent...je me sent tout seul...malgré les paroles...et je pleure le vent dans mes cheveux...les chagrins dans le coeur...je ralentis...sans le vouloir...la gravité sans doute...encore un principe a suivre...encore une lois qui nous lie les mains...je ne pédale plus ...mais je pleure ...car je suis un homme qui pleure...même sans vent dans les cheveux...car je suis un homme amoureux...un homme tout seul...un homme tout court...

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23 mars 2007

Heureux...

Fly me to the moon
Let me play among the stars
Let me see what spring is like
On a-Jupiter and Mars
In other words, hold my hand
In other words, baby, kiss me

Fill my heart with song
And let me sing for ever more
You are all I long for
All I worship and adore
In other words, please be true
In other words, I love you

Fill my heart with song
Let me sing for ever more
You are all I long for
All I worship and adore
In other words, please be true
In other words, in other words
I love   you

fly me to the moon-Sinatra
j'adore la chanson...je ferme mes yeux et je danse...malgré mes deux pieds gauches...un sourire au levres...et je danse...une trés joyeuse mélodie...le printemps ne va pas tarder...et moi je danse...

4 mars 2007

Une autre fois...

On aurait pu se dire tout ça
Ailleurs qu'au café d'en bas,
Que t'allais p't êt' partir
Et p't êt' même pas rev'nir,
Mais en tout cas, c' qui est sûr,
C'est qu'on pouvait en rire.

Alors on va s' quitter comme ça,
Comme des cons d'vant l' café d'en bas.
Comme dans une série B,
On est tous les deux mauvais.
On s'est moqué tellement d' fois
Des gens qui faisaient ça.

Mais j' trouve pas d' refrain à notre histoire.
Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires.
J' sais bien qu' j' l'ai trop dit,
Mais j' te l' dis quand même... je t'aime.

J' voulais quand même te dire merci
Pour tout le mal qu'on s'est pas dit.
Certains rigolent déjà.
J' m'en fous, j' les aimais pas.
On avait l'air trop bien.
Y en a qui n' supportent pas.

Mais j' trouve pas d' refrain à notre histoire.
Tous les mots qui m' viennent sont dérisoires.
J' sais bien qu' j' l' ai trop dit,
Mais j' te l' dis quand même... je t'aime.

Je te le dis quand meme.Bruel

J'ai vraiment creusé dans mon répertoire pour trouver la chanson qui ressemble le plus a ce que j'ai vécus ce jour là...devant le café d'en bas...et voili voilou...je l'ai déniché.
Je trouve le texte pas vraiment exceptionnel mais il contient plusieurs paroles que je désire dire...la mélodie est assez mélancolique (la voix du chanteur aussi).

3 mars 2007

Des mots et des maux...

A deux pas d'ici j'habite
Peut-être est-ce ailleurs
Je ne reconnais plus ma vie
Parfois je me fais peur
Je vis dans un monde
Qui n'existe pas
Sans toi je ne suis plus tout à fait moi

A deux pas d'ici j'ai égaré ce que j'étais
Mon nom ne me dit rien ni la photo sur mes papiers
On peut bien m'appeler un tel où un tel
Sans toi peu m'importe qui appelle

Comment dit-on bonjour
Je ne sais plus
Le parfum des beaux jours
Je le sens plus
Comment fait-on l'amour
Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié
Les mots doux de velours
Je n'écris plus
Et le sens de l'humour
Je l'ai perdu
Comment faire l'amour
Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié

A deux pas d'ici j'ai essayé de revenir
De mettre un peu d'ordre à mes idées
Les rafraîchir

Je me suis coupé les cheveux
J'ai rasé les murs
Ce que je fais je n'en suis pas sûre

Comment dit-on bonjour
Je ne sais plus
Le parfum des beaux jours
Je le sens plus
Comment fait-on l'amour
Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié
Les mots doux de velours
Je n'écris plus
Et le sens de l'humour
Je l'ai perdu
Comment faire l'amour
Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié

J'ai tout oublié quand tu m'as oublié...

J'ai tout oublié quand tu m'as oublié...

J'ai tout oublié.Lavoine

Je n'arrive pas a commenter la chanson car je ne sais vraiment plus comment écrire les  "mots de velours".
Tout ce que je peux dire c'est que je dois essayer de revenir et de mettre un peu d'ordre à mes idées. Reste les cheveux...c'est presque décidé...je m'en sépare...ils chutent d'eux même...alors pourquoi attendre...

2 mars 2007

Le sang s'égoutte

une chanson par jour ... celle qui reflete le plus ma journée...

Tant de jours, de mois passés
Effacés et classés, les maux et moments
Des plaisirs dépassés
Aux cibles de mes désirs
Ton ventre se dessine
Assez de simagrées, tu m'as choisi pour cible
Assassine
Si je te suis des yeux
Ne crois pas que c'est un jeu

Mais si tu m'assassines aussi souvent
Mais, le couteau dans la plaie trop souvent
Je préférerais que tu m'assassines
Pour de bon maintenant
Je ne supporterai pas longtemps
Que tu m'assassine autant

J'en ai le souffle coupé
Je suis touché de plein fouet
Tu persistes et signes
C'est lourd les regrets, " assassine "
C'est sublime mais il m'assomme
Ce bébé, mais c'est un beau prétexte en somme
Comme si l'amour ne durait tout le temps
Maintenant, je te fuirai des yeux
Même si mon cœur brûle encore le feu
 

Assassine.Obispo

Donc ...vas y...enfonce plus ton opinel...et n'oublie pas...remue le pour me faire plus mal

22 février 2007

Je vous aime

Je veux dire merci  a vous, vous qui me tenez compagnie dans ma solitude, vous qui me remontez le moral quand il est au plus bas, vous qui savez choisir les mots qui touchent ma conscience.
J'avais besoin d'une épaule et vous étiez là, j'avais besoin d'interlocuteurs et vous étiez toute ouïe. je souhaitais fuir mon présent et j'ai trouvé en vous tout ce que je cherchais...des amies.
Je vous déclare mon amour, ma gratitude et mon respect. Et du fond de mon coeur je vous remercie...

Toi la fée cosmique, j'aime tout ce que tu me dis, tu étais la première avec qui j'ai sympathisé à coup de rimes et tu aura toujours ta place dans mon coeur.

Toi la fofolle qui me fais tant rire et qui m'intrigue...Ne change pas mais remets un peu d'ordre dans ta vie...oublie un peu ton passé et regarde vers l'avant...cherche un partenaire, pas un jouet .

Toi ma déesse, tu me ressemble tant, je peux rien dire a part que tu m'épate. Reste toi même, si il te mérite...il changera. Encore une chose...on a toujours le droit de pleurer, de rentrer chez soit et de se fondre dans les bras d'un père ou d'une mère.

Enfin toi ma grande, je ne te cerne encore pas mais je peux dire que tu es exceptionnelle comme personne. Tu me fais parfois peur mais j'adore discuter avec toi.

je ne suis pas un homme qui ouvre son coeur si facilement d'habitude, mais j'ai trouvé en vous les soeurs que je n'ai jamais eu...Merci

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